FAQ : questions sur l'Algérie - Detours Algerie
FAQ : questions sur l'Algérie

FAQ : questions sur l'Algérie

Vous projetez de faire un voyage en notre compagnie. Vous avez des questions, des interrogations ou vous êtes à la recherche de renseignements, vous trouverez ci-dessous tout un ensemble d'informations qui vous permettra de bien préparer votre voyage.

Visa et formalité

Votre passeport doit être en règle, en cours de validité et valable 6 mois après la fin du séjour en Algérie. Toutes les informations à ce sujet vous seront données ultérieurement, un mois avant le départ, lorsque le nombre suffisant d’inscrits sera atteint et lorsque le départ sera assuré. Le visa s’obtient très rapidement.

Les déplacements en avion

Vols directs avec la compagnie régulière Aigle Azur.

Vous serez au Sahara, et de ce fait, des perturbations sont toujours possibles (retard d'un vol, vent de sable, brume).

Climat en Algérie

Il est difficile de donner des précisions sur les températures d'une saison car elles dépendent vite d'un nuage passant devant le soleil, de l'altitude ou du vent.

En général, aux périodes durant lesquelles nous organisons les voyages, on a plus souvent à combattre le froid qu'à se protéger du soleil ou de la chaleur, sauf en fin de saison. De plus, le Sahara est vaste... Les températures des Tassili (Immidir et Ajjer, 800 à 1850 m) ou de l'Amadror (1000 m) ne sont pas les mêmes que celles de Tamanrasset (1400 m) et de l'Atakor (bivouac jusqu'à 2500 m). Les nuits sont toujours fraîches ou franchement froides, même au printemps. En hiver, il n'est pas rare que la température descende à -5°, spécialement dans le Hoggar (on y a enregistré des températures plus basses). Un bivouac n'est alors supportable que grâce à la sécheresse de l'air. Nous possédons des tentes que nous montons en cas de pluie.

Santé et vaccins en Algérie

Nous vous rappelons que vous devez êtres en parfaite santé. Pour ces voyages, nous insistons sur la difficulté à obtenir du secours pour une évacuation d'extrême urgence : les liaisons radio sont inexistantes et les centres de soin sont très souvent éloignés. En cas de besoin, nous possédons une pharmacie de première urgence. Prévoyez néanmoins une petite pharmacie personnelle (cf. liste de matériel individuel).

Vaccinations :

Pour entrer en Algérie aucune vaccination n’est obligatoire. Comme pour la plupart des voyages que nous organisons, nous vous conseillons d’être à jour des vaccins ordinaires (diphtérie, tétanos et polio).

Déclaration de devises, changes et argent personnel

A l'entrée en Algérie, après avoir satisfait aux formalités de police, vous devez remplir un imprimé de déclaration de devises et le présenter au service des douanes. Vous pourrez effectuer le change soit à l’aéroport, ou bien à en ville à Tamanrasset ou à Djanet. Changez le minimum utile à vos frais personnels.

Au retour, à l'aéroport d'Alger, il est possible de rechanger l'excédent des Dinars non utilisés. Il est toujours difficile de vous conseiller une somme pour votre argent de poche, car tout dépend bien sûr de vos projets d'achats et du cours du Dinar Nous vous suggérons d’emporter avec vous un minimum de 60€ par personne.

L’eau, la boisson

L'eau ne manque pas mais nécessite souvent de la part des chameliers et des chameaux beaucoup de peine et d'effort : détour vers les points d'eau, transport, etc. Donc, on l'économise par sagesse et par respect...

Vos pas vous mèneront peut-être vers une guelta, ce qui est toujours une émotion au Sahara. Ne la souillez pas ! Parfois l’eau peut avoir un aspect boueux ou encore un goût particulier, c’est pourquoi nous vous conseillons de prendre avec vous des pastilles désinfectantes.

Peu d’eau est nécessaire pour faire un semblant de toilette. Prévoir un savon et une serviette (dans le sac à dos) pour une toilette rapide lors d’un passage à un point d’eau durant l’étape.

La déshydratation

A ces latitudes basses l’exposition à une forte insolation, même si la température n’est pas particulièrement élevée peut provoquer la déshydratation ou un coup de chaleur plus ou moins grave. Il n’y a souvent pas de signe avant-coureur et la gêne peut fortement nuire au bon déroulement du séjour, tant pour soi que pour les autres. La prévention est essentielle ; la règle est simple : avoir le minimum de peau exposée au soleil, garder la tête couverte, boire suffisamment. La protection des yeux ne doit pas être oubliée. Lorsque la chaleur devient importante, il est important d’apprendre à distinguer la pépie de la soif. La bouche sèche n’est pas forcément synonyme d’un besoin physiologique d’eau. Si on est attentif, on se rend compte que l’organisme s’adapte et les réflexes de comportements changent ; le besoin de boire diminue. Un excès de consommation d’eau, comme le manque, amènent des dysfonctionnements.

La nourriture et les repas

Compte tenu du climat et de notre mode de déplacement, on ne peut pas transporter, pendant plusieurs jours des légumes et des fruits frais pour un groupe de 8 à 15 personnes.

  • Petit déjeuner : pain, confiture, nescafé, thé, chocolat, lait, sucre et céréales. Des vivres de marche sont distribués le matin (pâtes de fruits, nougati, pâtes d'amandes, fruits secs).
  • Repas de midi : il est froid. Salades variées (pommes de terre, lentilles, riz etc…)
  • Repas du soir : il est préparé au gaz. Potages, riz, pâtes, couscous, ragoût de pommes de terre, viande fraîche ou séchée, fromage...
  • Les desserts : mandarines ou oranges, dattes, fruits au sirop, compotes.

Le pain est transporté pour tout ou partie du voyage. Nous le conditionnons afin de le conserver au mieux, ce que nous parvenons à faire assez facilement en hiver. En période chaude, la conservation du pain est plus délicate car il sèche et prend l'aspect de la biscotte ! Il faut alors savoir manger des morceaux et non des tranches, savoir le tremper dans le bol du déjeuner ou de la soupe.

Lorsque le bois est en quantité suffisante, nous faisons aussi la galette locale, taguella.

Vous, votre appareil photo et la population locale

La tentation est toujours grande de fixer sur la pellicule les personnes rencontrées ; et bien souvent ce désir est d’autant plus fort que la rencontre est brève. Or ce devrait être le contraire. Il est plus acceptable, pour l’autochtone de se faire photographier par l’étranger s’il y a eu un réel échange. La moindre des choses est de demander l’autorisation, et si on vous la refuse, n'insistez pas. On parle parfois de photo volée, faite à la volée. Mieux vaut emprunter, et pouvoir rendre, donc envoyer un tirage. Ce qui est souvent promis, et pas toujours tenu. Et puis comment faire parvenir un cliché si on ne prend pas le temps de relever l’adresse des personnes ? Même les nomades ont le moyen de recevoir du courrier, par l’intermédiaire de la boite postale d’un ami ou d’un proche.

Les prises de vue sont interdites sur les aéroports, les terrains d'aviation, les casernes et les postes de garde ou de contrôle.

Les prises de vues au flash des peintures rupestres sont interdites (dégradation) mais autorisées sans flash, même dans le Parc de l’Ajjer.

Cadeaux

Si vous désirez témoigner satisfaction et reconnaissance à vos compagnons de voyage (guide et chameliers), sachez qu'ils seront comme vous sensibles à toute preuve ou marque d'amitié, mais sachez aussi qu'ici, davantage que chez nous, la façon de donner vaut mieux que ce que l'on donne.

Objets préhistoriques et échantillons minéralogiques...

Tous les circuits au Sahara Central se situent dans les Parcs Nationaux de l’Ahaggar (Hoggar) et du tassili n’Ajjer. Nous tenons à vous mettre très sérieusement en garde à ce sujet : Il est INTERDIT de ramasser et d'emporter les outils ou ustensiles de pierre et de métal (pointes de flèches, bifaces, racloirs, meules, etc.), tout échantillon minéralogique (cailloux, quartz, sable, etc), cornes de gazelle ou de mouflon (ramassées sur le terrain et aussi vétustes soient-elles). Toute personne prise en flagrant délit engagerait sa seule responsabilité. Le service des douanes assure un contrôle, toute personne prise en flagrant délit et confondue engagerait sa seule responsabilité.

Un peu d’écologie

L'équilibre écologique des régions désertiques est précaire et la dégradation des ordures est quasi nulle. Chaque visiteur est responsable de la propreté et de l'état des sites qu'il traverse et où il bivouaque. Ainsi faut-il s’appliquer à laisser le paysage aussi vierge que l’on a eu le plaisir de le découvrir. Nous ne sommes pas habituer à gérer nos propres déchets mais il faut bien ici le faire. Chacun doit donc se munir d’un briquet ou d’une boîte d’allumettes pour brûler papier toilette, lingettes (vérifiez qu’il soit bien consumé car ce n’est pas toujours facile).

Les autres déchets ne doivent pas mélanger le biodégradable et le reste. Les reliefs de cuisine profiteront toujours à quelques chèvres, insectes ou petits mammifères. Les autres déchets doivent être brûlés, avec un peu de bois, puis il faut récupérer le métal, le verre et l’aluminium, les stocker et les rapporter en ville.

L’expérience montre que l’on ne peut pas confier cette tâche, et qu’il faut absolument s’en charger soi-même.

Il ne faut jamais rien mettre dans le feu, hormis le bois, lorsque les Touareg sont autour ou qu’ils vont profiter de ce feu pour faire une galette. Nous vous rappelons aussi que, dans toutes les régions du Sahara, on ne jette jamais un noyau de datte dans le feu.

NOS CIRCUITS
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